الاثنين، 16 فبراير 2015

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rottweiler

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rottweiler

     
À l'époque romaine, des mâtins, ancêtres de nos rottweilers d'aujourd'hui, gardent le bétail destiné à nourrir les légionnaires pendant les grandes campagnes militaires. Une fois les Alpes passées, les Romains progressent jusqu'en Germanie, où ils installent des garnisons, notamment à Rottweil, dans la région du Wurtemberg. Au Moyen Âge, Rottweil devient une ville très prospère, avec une forte activité commerciale. C'est à ce moment que l'on retrouve l'ancêtre du rottweiler sous le nom de metzgerhund (littéralement « chien de boucher »), parce qu'à l'époque il accompagne justement les bouchers, faisant office de bouvier (garde et conduite des bœufs) et de chiens de garde pour les maîtres.
Avec le temps, la race devient plus homogène et c'est à la fin du XIXe siècle qu'apparaît le nom de rottweiler ou bouvier allemand, alors qu'il est présenté à une exposition en 1892. L'interdiction du transport de bétails étant décrétée au début du XXe siècle, le rottweiler perd son emploi et manque de disparaître. Mais il obtient sa « reconversion » pendant la Première Guerre mondiale dans le domaine militaire, ainsi qu'à la ferme. Sur le plan international, le rottweiler a d'abord conquis les États-Unis entre les deux guerres, où il a été reconnu en 1935, alors qu'il a fallu attendre 1966 pour le voir en Angleterre et les années 70 en France. Actuellement on peut dire qu'il a rattrapé son retard puisqu'il est quatrième au « hit-parade » des naissances en France.
Étant donné son succès et la production de masse, la race est touchée par des problèmes de dysplasie, des troubles osseux et l'entropion (enroulement des paupières vers l'intérieur).

Catégorie

Standard de la race et caractère

Le rottweiler est un chien de type molossoïde de taille moyenne à grande. Les mensurations admises par le standard de la race vont de 61 à 68 cm pour les mâles et de 56 à 63 cm pour les femelles. Son poids moyen est de 42 kg pour les femelles et de 50 kg pour les mâles. En tant que chien de travail, il ne doit pas dépasser les 55 kg. Cependant le poids n'est pas mentionné au standard.
Le rottweiler est un chien solide, au corps bien musclé. C'est un chien ni pesant ni léger mais bien proportionné. Il évoque la force, la souplesse et l'endurance.
La robe est formée par le poil de couverture et le sous-poil. Le poil de couverture est de longueur moyenne, dur au toucher, lisse et bien serré contre le corps. Le sous-poil ne doit pas dépasser le poil de couverture. Les poils sont un peu plus longs aux membres postérieurs. Noire, avec des marques feu bien délimitées d’un ton brun-roux soutenu sur les joues, le museau, le dessous du cou, le poitrail, les membres ainsi qu’au-dessus des yeux et en dessous de la racine de la queue.
Le standard admis par la Fédération cynologique internationale (FCI) le définit comme étant :
« un chien robuste de taille moyenne à grande, ni lourd, ni léger, ni haut sur pattes, ni levretté. De proportions harmonieuses, son aspect trapu et vigoureux laisse présager force, souplesse et endurance. »

Législation

En Suisse, certains cantons, notamment Genève, interdisent la reproduction et l'acquisition de rottweilers, ainsi que d'autres races considérées comme dangereuses.
En France, la loi du 6 janvier 1999, sur les chiens dits dangereux, classe le rottweiler dans la catégorie n°2, c'est-à-dire « les chiens de garde et de défense ». Ainsi sont obligatoires l'identification par une puce sous-cutanée ou un tatouage, la vaccination contre la rage, une attestation d'assurance responsabilité civile, certificat d'aptitude, une déclaration à la mairie et le permis de détention. En outre, le chien doit porter une muselière et être tenu en laisse par une personne majeure sur la voie publique. Les mineurs, les majeurs sous tutelle, les personnes ayant un bulletin n°2 du casier judiciaire et les personnes auxquelles la garde d'un chien a été retirée ne sont pas autorisés à détenir un rottweiler1.

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Cane corso

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                                                            Cane corso 


Le cane corso est un chien du sud de l'Italie et plus particulièrement du sud-est qui est la région des Pouilles. C'est un chien de ferme aux multiples fonctions, garde, conduite de bétail, chasse à l'ours et au sanglier et en des temps plus éloignés chien de guerre avec la légion romaine et chien de jeux romains contre le lion. La race a été reconnue 14e race italienne et n'est plus en voie de disparition. Son proche cousin est un autre dogue italien : le mâtin de Naples, plus lourd et beaucoup moins souple. Au milieu du XXe siècle, à la reconnaissance du mâtin napolitain, son autre nom était aussi cane corso. Contrairement aux idées reçues le terme corso n'est pas assimilé à la Corse. Son origine provient du mot corso, qui peut se traduire par « cour » en italien ce qui signifierait donc « chien de cour italien » mais également de la « cohorte romaine », garde prétorienne indiquant ainsi une fonction de garde du corps. À l'époque de la Rome antique, il était si fort et si dévoué, que le cane corso comme on le connait aujourd'hui, était utilisé pour repousser les lions dans leur quartier après leur performance dans le Colisée.

Caractère

Le cane corso est un excellent chien de garde, qui surveille son territoire d'une façon discrète, mais qui est toujours vigilant. C'est un chien calme, loyal et extrêmement fidèle. Il a besoin de place pour jouer et se défouler car c'est un chien assez actif. Une vie en appartement est donc possible à partir du moment où il bénéficie d'heures de jeux et de longues promenades avec ses maîtres. C'est un chien équilibré mais attention au comportement avec les autres congénères mâles.

Description

Le cane corso est un molosse athlétique, musclé et solide. Sa truffe est toujours de couleur noire, ses oreilles sont triangulaires et pendantes, elles ont souvent été raccourcies avant l'interdiction de la coupe. Son poil est court, serré et brillant, et sa robe peut être noire, gris-plomb, gris-ardoise, gris-clair, fauve clair ou foncé, bringée. Les sujets fauves ou bringés ont un masque noir ou gris sur le museau. Une petite tache blanche est admise sur le poitrail. Selon le standard officiel, le mâle pèse de 45 à 60 kg, pour une taille au garrot comprise entre 64 et 68 cm, et la femelle entre 40 et 45 kg, pour une taille au garrot comprise entre 60 et 64 cm, avec une tolérance de plus ou moins 2 cm pour les tailles.

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berger almand

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                                                               berger almand    


Le berger allemand (aussi appelé berger d’Alsace ou berger alsacien) est une race de chiens (Canis lupus familiaris) tirant son nom de son pays d'origine, l'Allemagne, où elle est apparue à la fin du XIXe siècle. La Fédération cynologique internationale le reconnaît sous le nom de Deutscher Schäferhund, ce qui laisse à penser que durant des milliers d'années, des animaux proches des bergers allemands et de leur cousins belges ou hollandais ont existé dans cette région d'Europe1
En 1878, les éleveurs allemands de chiens à aptitudes bergères réalisent une première tentative de regroupement dans un but d’amélioration de leurs chiens. Ceux-ci sont très variés d’un point de vue phénotypique, notamment selon les régions : par exemple, le type Wurtemberg porte les oreilles droites, alors que celui de Thuringe a les oreilles tombantes. Il existe également des chiens différents en Bavière ou dans la Hesse. Mais leur principal point commun est leur caractère qui fait d’eux de bons gardiens de troupeaux et de biens : intelligence, obéissance, vigilance, incorruptibilité. On retrouve également chez tous robustesse et rusticité puisque jusqu’alors la sélection empirique qui a été réalisée ne visait qu’à obtenir de bons livre généalogique et tentent d’établir une société, le Phylax, mais le projet n’aboutit pas.
C’est le capitaine de cavalerie Max Emil Frédéric von Stephanitz qui sera le véritable « père » de la race. Après avoir longtemps admiré les aptitudes des chiens de berger, il décide d’en acheter un le 3 avril 1899. Son nom d'origine est Hektor von Linksrhein qu’il rebaptisera ensuite Horand von Grafath. Celui-ci est gris et jaune, plutôt de type berger de Thuringe (mais à oreilles droites). Von Stephanitz et Arthur Meyer créent ensuite le club de race le 22 avril 1899 à Karlsruhe (« Verein für deutsche Schäferhunde » ou SV), le capitaine sera à sa tête pendant trente-cinq ans.
Le 28 septembre 1899 est publié le premier standard de la race, et en 1900, Horand inaugure le livre des origines du SV (« Zuchtbuch »).
Ce qui fera plus tard la force de la race, c’est la largesse de ses dirigeants dans la première définition du berger allemand : « tout chien de berger vivant en Allemagne qui, grâce à un exercice constant de ses qualités de chien de berger, atteint la perfection de son corps et de son psychisme dans le cadre de sa fonction utilitaire ». Les buts sont clairs, c’est donc par et pour le travail que la sélection du berger allemand commence.
Le club présente rapidement une activité importante et organisée. Dès 1902 un journal est édité pour tous ses membres, et en 1903 un registre de sélection voit le jour avec la compilation des performances des reproducteurs. Les progrès seront rapides car bien dirigés à l’échelon national et bien suivis par les efforts des éleveurs (1 215 membres en 1906). On commence à rechercher des femelles du même type et à organiser des expositions pour uniformiser la race, et notamment une exposition nationale d’élevage qui permet à tous les éleveurs du pays de choisir des reproducteurs homogènes.
Peu à peu on trouva au berger allemand d’autres utilités que la garde des troupeaux (ceux-ci ayant vu leur effectif diminuer). Ses qualités de robustesse, son flair hors pair et son obéissance à toute épreuve encouragèrent la police allemande à l’utiliser. En 1914, le SV et l’armée organisent une démonstration des possibilités du berger allemand en temps de guerre, à laquelle il paya ensuite un lourd tribut.
Adolf Hitler a possédé un premier berger allemand nommé « Prinz » dès 1921. Cependant, durant ses années de difficultés économiques, il fut forcé d'envoyer le chien vivre ailleurs ; celui-ci s'échappa et rejoignit son maître. Hitler développa dès lors un grand respect pour cette race de chiens2. Il posséda par la suite une chienne berger allemand nommée Blondi qui lui fut offerte en 1941.
En 1922, l’examen de Körung3 est mis en place pour la sélection des reproducteurs ; ceux qui sont déclarés aptes à la reproduction sont inscrits dans le registre Körbuch. En 1926, le livre des origines compte déjà 346 000 chiens inscrits. Dans les années 1950, l’épreuve du coup de feu4 et le test de caractère font leur apparition. Le SV est renommé pour le dirigisme qu’il impose à l’élevage : nombre de saillies limité, choix de l’étalon en accord avec le surveillant d’élevage, interdiction de faire saillir une femelle recommandée par un mâle non recommandé, etc. Toutes ces mesures visent à guider la sélection pour le mieux.
Katzmair et Funk succèdent à von Stephanitz, puis le Dr Rummel en 1971. En 1974, est créée l’Union mondiale des Associations de Berger Allemand (WUSV), grâce à la volonté de regroupement du Dr Rummel, qui encourageait « un dialogue fructueux, aussi bien pour l’élevage que pour l’utilisation ». En 1982, Hermann Martin (élevage von Arminius) devient président du SV. Le premier championnat de travail WUSV se déroule à Munster[Lequel ?] du 16 au 18 septembre 1988. En 1994, Peter Messler prend la tête du SV jusqu’en décembre 2002 ; lui succède alors Wolfgang Henke. Les membres du club font preuve de beaucoup de motivation et de dynamisme pour voir évoluer leur race. Ils se retrouvent très fréquemment lors de réunions pour parler de leurs chiens     

En France

Dès 1910, l’importation de bergers allemands commence en France et augmente d’année en année
chiens arrivent en France au cours du premier semestre 1912. C’est Georges Barais (élevage de Beauchamps) qui tiendra une place capitale pour le berger allemand en France. Il crée en 1913 le club du berger d’Alsace puis, en 1920, la Société du Chien de Berger d’Alsace (SCBA) qui structure réellement l’élevage. Dès sa constitution, celle-ci édite un bulletin mensuel malgré les faibles moyens de l’époque. Le 7 mars 1920 une première exposition de berger d’Alsace a lieu à Bordeaux, jugée par Georges Barais, et le compte-rendu de la journée est déjà disponible dans le bulletin du 1er avril.
Ce n’est que le 8 octobre 1922 que les Français reconnaissent officiellement l’origine allemande de leur chien favori (ils considéraient auparavant que cette race française avait été volée par les Allemands en 1870) et la SCBA devient la Société du Chien de Berger Allemand. Elle tient son livre d’élevage et publie des pedigrees jusqu’en 1958 (création de la SCC). Lorsque Georges Barais disparaît en 1955, c’est Marcel Olive (élevage de Fort-Réal) qui lui succède.
La SCBA a été et reste le premier club de race français. Elle aligne sa politique d’élevage sur le pays d’origine pour obtenir les meilleurs résultats possibles.
En France, la première exposition nationale d’élevage a lieu en 1958 à Vichy, avec rapidement l’instauration des tests au coup de feu et des dépistages de la dysplasie de la hanche. Depuis 1978, un test de caractère est également mis en place. Ce rassemblement fut d’abord dénommé « exposition principale d’élevage », avant de devenir en 1987 l’« exposition nationale d’élevage » (définition de la SCC). Depuis 1989, elle a lieu chaque année en un lieu différent     En Italie, le premier berger allemand s’appelait Olaf von Hoharen Fichte, et fut importé en 1949 par Danzio Gobbi (titulaire de l’élevage de l’Alta Quercia, il importa aussi par la suite le célèbre Mutz von Pelztierfarm). À la même date, Leonardo Gatto Roissard (élevage di Casa Gatto) et le Dr Ignazio Barbieri fondèrent le club du berger allemand à Milan, transféré ensuite à Modène en 1969 par le Dr Walter Gorrieri (élevage di Val del Tiepido). Ce dernier constitua en 1977 le SAS (Società Amatori Schaferhünde), qui est le club de race actuel. Le nombre d’inscription au LOI5 passa de 2 492 en 1949 à 5 222 en 1969. C’est dans les années 1970 que les chiffres explosent : 28 857 naissances en 1976. Ce nombre record a ensuite subi une diminution et s’est stabilisé depuis les années 1990.
Les élevages cités sont ceux qui ont le plus marqué les années de 1965 à 1975 ; plus tard on peut noter l’importance des affixes : di Cà San Marco (F. Dolci), del Catone (S. Capetti), di Casa Mary (W. Pagin), d’Ulmental (Francioni). Le président du SAS en 2003 est Ezio Roman, presque 6 000 membres y sont inscrits.
L’Italie a vu naître plusieurs grands champions et même plusieurs « Auslese6 » allemands, le plus célèbre étant certainement Max della Loggia dei Mercanti. L’élevage italien le plus présent actuellement au niveau international est certainement della Valcuvia de Luciano Musolino, surtout grâce au chien Dux, qui a obtenu le titre d’« Auslese » en Allemagne en 2001.


En Italie

En Italie, le premier berger allemand s’appelait Olaf von Hoharen Fichte, et fut importé en 1949 par Danzio Gobbi (titulaire de l’élevage de l’Alta Quercia, il importa aussi par la suite le célèbre Mutz von Pelztierfarm). À la même date, Leonardo Gatto Roissard (élevage di Casa Gatto) et le Dr Ignazio Barbieri fondèrent le club du berger allemand à Milan, transféré ensuite à Modène en 1969 par le Dr Walter Gorrieri (élevage di Val del Tiepido). Ce dernier constitua en 1977 le SAS (Società Amatori Schaferhünde), qui est le club de race actuel. Le nombre d’inscription au LOI5 passa de 2 492 en 1949 à 5 222 en 1969. C’est dans les années 1970 que les chiffres explosent : 28 857 naissances en 1976. Ce nombre record a ensuite subi une diminution et s’est stabilisé depuis les années 1990.
Les élevages cités sont ceux qui ont le plus marqué les années de 1965 à 1975 ; plus tard on peut noter l’importance des affixes : di Cà San Marco (F. Dolci), del Catone (S. Capetti), di Casa Mary (W. Pagin), d’Ulmental (Francioni). Le président du SAS en 2003 est Ezio Roman, presque 6 000 membres y sont inscrits.
L’Italie a vu naître plusieurs grands champions et même plusieurs « Auslese6 » allemands, le plus célèbre étant certainement Max della Loggia dei Mercanti. L’élevage italien le plus présent actuellement au niveau international est certainement della Valcuvia de Luciano Musolino, surtout grâce au chien Dux, qui a obtenu

Un homme en uniforme avec un chien en laisse assis à ses pieds
Berger allemand dans la marine américaine
Aux États-Unis, il semble que le premier berger allemand ait été ramené sur ce continent par le caporal Lee Duncan, qui avait vu les exploits de ce chien pendant la Première Guerre mondiale. La race atteint toute sa notoriété grâce au succès de son chien dans la série Rintintin.
Le club fut fondé en 1913 par S. Hastead Yates. Il mena une politique différente de celle des Européens en privilégiant la beauté au travail. Avec 25 000 inscriptions au livre des origines en 1926 et plus de 100 000 en 1970, on peut dire que le berger allemand y tient aussi une place très importante

Berger allemand allongé
Chiot ébouriffé noir et beige, oreilles pliées, langue rose pendante
Chiot berger allemand âgé de cinq semaines
Le berger allemand est un chien à la fois très sportif et élégant, grâce à sa taille souple. Son pelage est dense, rude et droit. Sa robe est noire-marron-fauve, noire ou encore grise. Sa truffe est foncée (noire), ses yeux en amande de couleur brune et ses oreilles droites. Sa queue est tombante, touffue. Il existe deux variétés également reconnues : à poils courts ou à poils longs.
Les bergers allemands sont des chiens très polyvalents composés de deux lignées :
  • la lignée dite de travail : chien de garde, chien policier, pompiers, chien d'avalanches, aide aux handicapés, chiens guide d'aveugle, etc. mais encore de compagnie. Par contre, ils sont souvent négligés quant à la morphologie. On rencontre, dans ces « lignées » le tout noir, le bicolore et le gris. Le noir et feu, la couleur « emblématique » du Berger allemand, est quant à elle très peu présente dans les lignées de travail
  • la lignée dite de beauté (pour les concours canins). Ces bergers ont une morphologie excellente, une structure équilibrée, un très bon tempérament digne de la race et une forte pigmentation. On retrouve, généralement, la couleur noir et feu. La lignée de beauté est la plus commune et la plus répandue.
Les éleveurs des chiens de lignées dites de beauté ne reproduisent souvent que pour la beauté du chien. Quant aux éleveurs de travail, ils ne font souvent pas attention à la morphologie de leurs Berger allemand. Puis, il y a les éleveurs qui s'efforcent de produire de bons et beaux chiens, ce qui correspond à la Korung, une épreuve de sélection allemande instaurée par le père fondateur de la race : Le capitaine Von Stephanitz, qui évalue à la fois les qualités morphologiques du chien et son gout pour le travail, ainsi, un minimum de "bon" en expo et un Brevet ring ou RCI 1 est obligatoire afin de passer l'épreuve.
D'après le standard de la SCBA (Société du Chien de Berger Allemand), le Berger Allemand est de taille moyenne, légèrement plus long que haut, de ligne athlétique il est vigoureux, musclé, et dispose d'une construction générale solide. Les mâles ont une taille d'environ 60 à 65 cm au garrot et les femelles entre 55 à 60 cm au garrot. Le poids varie de 22 à 32 kg pour la femelle et de 30 à 40 kg pour le mâle.

Caractère


Le Berger Allemand est un chien docile.
Le berger allemand bien dressé est obéissant. Il fait souvent preuve d'une grande intelligence. Il peut aussi être un très bon chien de garde. Bien éduqué il n'aboiera qu'à bon escient.
Il faut le dresser fermement mais sans brutalité, car sous des abords parfois impressionnants et dissuasif c'est un grand sensible. Il supporte mal la solitude.
C'est un chien d'extérieur, qui apprécie les grands espaces et l'exercice. Il est sportif et a besoin de se dépenser régulièrement.
À l'âge adulte le berger allemand est souvent un chien très attaché à son entourage, il protège donc parfois instinctivement les enfants.

Sociabilité du berger allemand

Problèmes de santé courants

Chien blanc avec les yeux et muqueuses noires
Berger blanc suisse (Leucistisme)
  • Syndrome de dilatation-torsion gastrique : retournement de l'estomac, ceci se produit principalement si le chien se met à l'effort après avoir mangé, il est donc indispensable de lui donner sa nourriture en fin de journée, avant de dormir, afin qu'il ait le temps de digérer. Cette complication peut être soignée à condition qu'elle soit prise en charge rapidement, mais, elle est très couramment mortelle. De plus, si le chien en est atteint, les facteurs de risque que le chien meure d'un retournement de l'estomac en sont décuplés.
  • Dysplasie de la hanche : une dysplasie est une malformation ou déformation résultant d'une anomalie du développement d'un tissu ou d'un organe. Chez le Berger allemand, c'est une affection héréditaire. On peut la détecter par la radiographie, ou la prévenir en choisissant les reproducteurs : l'inclinaison du dos, recherchée jusque récemment par les standards de la race, est un facteur facilitant ou aggravant. Contrairement à une croyance bien ancrée, la dysplasie n'est pas La maladie du berger allemand; comme toutes les grandes races, il en est atteint, mais les efforts des éleveurs et la prévention permettent de limiter cette affection invalidante.
  • Myélopathie dégénérative du Berger allemand.

Utilisation

Le berger allemand est un chien de travail, utilisé comme guide d'aveugles, il est aussi capable de retrouver des rescapés victimes d'avalanches ou de tremblements de terre comme en Haïti récemment, son flair est aussi utilisé pour retrouver de la drogue ou des explosifs.
Le berger allemand accompagne son maître n'importe où, ainsi il peut être parachuté afin de pouvoir effectuer des interventions particulièrement délicates. Plusieurs chiens policiers de cette race ont même obtenu des médailles en reconnaissance de leur courage après des actions ou des sauvetages spectaculaires7.
Cette polyvalence est le résultat d'une grande complicité entre le maître et son chien, ce qui en fait un excellent chien de garde puisqu'il défendra les biens et la famille de son maître. Ainsi l'éducation du berger allemand est un fondamental à ne surtout pas négliger.

Le berger allemand dans la culture

Wrocławski (owczarek niemiecki).jpg

Acteur de fiction

Un exemple célèbre en est le chien Rintintin, un chien réel, particulièrement doué, devenu acteur de nombreuses fictions, puis lui-même héros de fiction. D'autres chiens interprétèrent ensuite le rôle dont plusieurs de ses descendants. Dans la série télévisée de 1950, le chien Rintintin est à la fois chien de l'armée et le chien personnel d'un petit garçon. À ces titres, il effectue des missions très diverses : pistage, surveillance, assistance... voire portage, tout en restant aussi un « chien au foyer ». Le chien acteur Rintintin a son étoile sur Hollywood boulevard8.
Koton est un autre chien berger allemand qui a joué le rôle du héros, nommé Jerry Lee, dans le film Chien de flic.
Dans Je suis une légende, les chiens acteurs Abbey et Kona se relaient pour interpréter le rôle de Sam, la chienne du héros.

Héros de fiction

Les berger allemands, populaires et débrouillards, ont souvent été choisi comme héros ou compagnons des héros de nombreuses fictions. Par exemple9 :
  • Kafi est le berger allemand des romans d'aventure Les six compagnons.
  • John, personnage du manga ginga nagareboshi gin est un berger allemands
  • Jerome,Ron, Victor et les autres chiens russe chiens du manga ginga densetsu weed sont des bergers allemands
  • Rex, dans la série germano-autrichienne Rex, chien flic crée en 1994 qui raconte les aventures d'un chien policier.
  • Delgado est un ancien chien policier dans Le Chihuahua de Beverly Hills, film des studios Disney sorti en 2009. Le tournage très physique a nécessité cinq bergers allemands comme doublures, en plus du chien-acteur Samson.
  • Diggs, le berger allemand dans Comme chiens et chats : La Revanche de Kitty Galore.
  • Samanta, surnommée Sam', est le chien de Robert Neville dans Je suis une legende.

Voir aussi

Références

  1. Dr Bruce Fogle (trad. Bernard Cucchi, Nicole Duclos, photogr. Tracy Morgan), Encyclopédie pratique des chiens [« The encyclopedia of the dog »], Sélection du "Reader's digest",‎ 1996, 312 p. (ISBN 2-893-93588-5 et 978-2-893-93588-1, OCLC 35970543), p. 222-223
  2. (en) Antony Beevor ; Berlin: The Downfall 1945 ; Viking Books, 2004 ; (ISBN 9780670886951). Page 357
  3. L'examen de sélection [archive] pour obtention de la « licence » (Körung en allemand) est une série d'épreuves et de mesures permettant d'éliminer de la reproduction les sujets présentant des imperfections morphologiques, anatomiques, psychologiques, etc. Selon les résultats, les sujets sont répartis en deux classes ou éliminés.
  4. Épreuve du coup de feu : test de non émotivité [archive]
  5. http://www.kidiwah.com/download/lexique_cynophile.pdf [archive] Livre des Origines Italien
  6. Le qualificatif « Auslese » est attribué tous les ans lors des Nationales d’Élevage des différents pays aux meilleurs chiens des classes "ouverte" mâles et femelles, sur décision du juge qui décèle en eux des qualités plus qu’excellentes, voire exceptionnelles
  7. Les animaux de la semaine: des chiens détecteurs de punaises, un toutou policier médaillé pour sa bravoure et «Chéri, j'ai rétréci les bêtes!» [archive]. Publié le 21 octobre 2011 dans la journal 20 minutes [archive], consulté le 3 février 2014.
  8. Los Angeles Times, Hollywood Star Walk - Rin Tin Tin [archive]
  9. Le Berger Allemand Star [archive], sur le site Le berger allemand [archive], consulté le 3 février 2014

Articles connexes

Liens externes

le titre d’« Auslese » en Allemagne en 2001

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